Merci à l'Union Nationale des Responsables de Copropriété

Ascenseurs

Il faut savoir deux choses :

1.- La 1ère chose à savoir est que les contrats d'entretien des ascenseurs contiennent tous une formule d'indexation du prix. Or, cette formule - très souvent - n'a PAS été respectée dans les années passées
DONC,
en contrôlant ce point, on peut :

- obtenir des remboursements importants (pouvant représenter 1 à 2 années de contrôle) ;
- obtenir un réajustement des contrats (de l'ordre de moins 20 %).

Des centaines d'immeubles adhérents à l'ARC ont obtenu de tels remboursements ou réajustements.

2.- La deuxième chose à savoir est que les ascensoristes - en raison d'une faible concurrence dans le secteur - pratiquent souvent des prix qui sont situés 20 à 40 % plus haut que ce qui résulte de l'application même des formules professionnelles (calcul par point).


DONC,
en calculant soi-même le nombre de points de son ascenseur , on peut connaître le JUSTE prix .

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- Comment aller plus loin ?

Pour aller plus loin, il faut savoir :

1.- que les acensoristes ne font pas toujours très bien leur travail de maintenance
(non-respect des périodicités de visistes, travaux d'entretien non réalisés,etc...) ;

2.- que les contrats qu'ils font signer sont très défavorables aux copropriétés (pas de pénalité en cas de retard d'intervention, pas de bordereau de prix, clauses défavorables en cas d'entretien avec modification du matériel, clauses d'indexation contestables, etc...

3.- que les ascensoristes essayent d'imposer aux copropriétés des travaux de sécurité :

  • qui n'incombent pas aux copropriétés ;
  • qui sont surfacturées ;
  • qui sont, parfois, inutiles.
Pour résoudre ces 3 problèmes, il est nécessaire de procéder ainsi :

1.- Faire contrôler par un bureau d'étude indépendant la qualité de la maintenance.
La plupart du temps, cela permet de repérer des carences graves et DONC d'obtenir des travaux gratuitement.

2.- Ill faut, ensuite, renégocier le contrat, en utilisant , pour cela, un contrat-type qui permet d'éviter TOUS les pièges de ce type de contrat (un contrat-type a été élaboré par l'ARC).

3.- Enfin, il faut - à la lumière des arrêtés qui définissent les travaux de sécurité - distinguer ce qui est obligatoire, nécessaire et superflu et favoriser une véritable mise en concurrence grâce à la connaissance des prix de base.

Dans tous les cas, si vous ne savez pas comment faire, l'ARC pourra vous y aider.